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“El hombre medieval sentía el olor del pecado; el hombre moderno se empeña en ponerle al pecado olor a desinfectante. El hombre medioeval hacía penitencia después de pecar, el hombre moderno adopta precauciones antes de pecar. El hombre medioeval corría el riesgo de la inmundicia; el hombre moderno se procura un seguro de higiene. El hombre moderno es el animal que se cree a sí mismo algo más que un hombre y sostiene que el hombre es algo menos que un animal. Es el animal que utiliza su inteligencia para predicar al hombre la primacía del instinto: la primacía de un instinto que él mismo crea en el hombre, como si éste no tuviera demasiado trabajo con sus instintos. Es el animal que inventa una selva para el hombre religioso e inventa una selva para el hombre político; el animal que inventa una nueva especie de hambre para el hombre político: una selva y un hambre que obligan al hombre a creerse algo menos que un animal. Es el animal que proclama la santidad de la animalidad. Es el hombre resentido contra la grandeza de la Iglesia y contra la grandeza del Reino; el animal que levanta al hombre contra la Autoridad y contra el ungido por la Autoridad: porque el desorden religioso lleva necesariamente a todas las formas del desorden, como todas las formas del orden llevan necesariamente al orden romano. El hombre moderno es el enemigo del orden porque es el esclavo de su rebeldía; es el animal que persigue la instalación de un orden inventado por él, porque él es impotente para vivir en el orden. Es el enemigo de la Iglesia porque la Iglesia pone orden en las almas y es el enemigo del Reino porque el Reino asegura el orden de los hombres. Es el animal que, por el camino de la higiene, quiere convertir al hombre en un animal de apetito carnívoro y de digestión vegetariana y es el animal que, por el camino de la fraternidad, quiere convertir a la sociedad de los hombres en una sociedad de moluscos anémicos. Porque el hombre moderno quiere, a todo trance, suprimir el heroísmo.”
Ignacio B. Anzoátegui
Tomado de Rafael Castela Santos, "Ignacio Anzoátegui, que estás en los cielos...", en A Casa de Sarto.
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Après l’analyse précédente, il peut être utile d’envisager au moins sommairement, les bases sur lesquelles un travail de groupe constructif peut s’établir. Nous supposons naturellement que la constitution de ce groupe est légitime et souhaitable.
Dès le départ, nous avons vu que le dyptique Liberté-Égalité semblait vouloir faire éclater le groupe. Pour lui maintenir son objectif de libéralisation maximale, pour en faire un groupe réducteur, il a fallu s’entêter.
Mais on peut aussi réagir plus sainement. Le simple bon sens y suffit. Quand on a remué des idées pendant un moment, que la structure du groupe rend difficile son fonctionnement, et tend à l’écarter de la réalité, il apparaît tout simplement nécessaire de réviser sa forme. C’est ce que nous allons faire ici.
La liberté du libéral
En premier lieu, faut-il accepter inconsidérément la liberté d’opinion comme un absolu en soi ? Que recouvre en fait l’attitude du “libre penseur” ? Un examen critique s’impose ici.
La liberté selon le dictionnaire Larousse, c’est l’absence de contrainte. Mais si l’on prend à la lettre cette définition, elle peut conduire aux absurdités les plus énormes.
Supposons par exemple que Pierre se trouve dans sa chambre au premier étage. Il a pleine liberté de se déplacer, en ce sens qu’il n’est pas contraint de rester en place, ou de se mouvoir dans telle direction plutôt que dans telle autre.
* S’il veut maintenant sortir de la chambre où il se trouve, il sera libre de le faire, mais à condition de passer par la porte. S’il prétend traverser un mur au nom de sa liberté, il se cassera le nez.
* Et si Pierre veut descendre au rez-de-chaussée, il est libre de le faire, mais à condition de passer par l’escalier.
* S’il se jette par la fenêtre, il risque fort de se blesser.
Autrement dit, Pierre ne sera libre qu’à condition de soumettre sa volonté aux multiples contraintes de la réalité qui l’entoure.
Mais cet homme peut refuser cette soumission, et adorer stupidement sa prétendue liberté. Celle-ci devient alors pour lui la licence de faire n’importe quoi. Se jeter par la fenêtre, par exemple. Au besoin vous chercherez à l’en empêcher. Mais alors vous le contraindrez à se soumettre à la réalité. Cessera-t-il d’être libre ? Ce faisant, porterez-vous atteinte à sa liberté ? Évidemment non ; au contraire.
* Car, si cet homme nie la pesanteur et se jette dans le vide, en fait, c’est qu’il n’est plus libre. Il est devenu fou, ce qui est une contrainte mentale.
* Ou bien, s’il se trompe, sa liberté cesse lorsqu’il a posé son acte. Ensuite il devient le jouet d’une force qu’il ne peut plus maîtriser. Il tombe et il subit les conséquences de sa chute.
Sur le plan moral, intellectuel, pédagogique ou professionnel, le libéral, le libre penseur, nos égaux délibérants de tout à l’heure, refusent en fait les contraintes de la réalité. Ce sont des fous qui nient la pesanteur. Et comme eux, ils cessent d’être libres, et deviennent esclaves de leurs passions, de leurs désirs, de leurs ambitions, des rêves qu’ils construisent sur les nuées, puis des conséquences des actes que leur déraison leur aura fait poser.
La vraie liberté
Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres.
St. Jean 8-32.
Pour qu’il y ait liberté, il faut en effet reconnaître d’abord l’ordre des choses, les lois qui régissent la matière, celles qui gouvernent l’ordre moral, physiologique, social, professionnel, etc.
Pour cela il faut rechercher l’accord, l’identité entre sa pensée et la réalité. C’est l’acte même d’intelligence, de intelligere, connaître, lire dans les choses. Au terme de cet accord, il y a la vérité, qui sera d’autant plus complète qu’il sera parfait. C’est alors que l’on sera libre.
Libre par exemple de construire un escalier, un ascenseur, un avion ou une fusée, pour vaincre la force de pesanteur en se soumettant à son existence et à ses lois. « On ne commande à la nature qu’en lui obéissant », disait Francis Bacon.
Ainsi pour construire un pont, il faut d’abord étudier les lois de la mécanique, afin de les vaincre en s’y soumettant. Plus l’ingénieur les a comprises, mieux il pourra s’appuyer sur leur réalité, plus son pont sera réussi.
De même celui qui prétend construire une société, une pédagogie, une entreprise ou une profession, doit d’abord étudier les réalités objectives, les lois naturelles, l’ordre des choses, dans le domaine à l’amélioration duquel il prétend appliquer ses efforts. Plus il en aura l’intelligence, plus son œuvre sera réussie.
Ainsi, dans un groupe réaliste ( par opposition au groupe réducteur) ce n’est pas la liberté qui sera posée comme absolue au départ. Elle doit au contraire devenir le but à atteindre. Et pour atteindre à cette liberté, le moyen qui doit être affirmé tout d’abord, c’est la soumission au réel. Alors les intelligences pourront pénétrer cette réalité et trouver la vérité, qui seule peut rendre libre.
Égalité et Hiérarchie
Depuis plus de trente ans que je tiens la plume philosophique, j’ai toujours représenté la souveraineté du peuple comme une mystification oppressive, et l’égalité comme un ignoble mensonge.
Auguste Comte
« Si tu manges ce fruit tu seras l’égal de Dieu ». Le Serpent
Quant au problème de l’égalité, elle apparaît bien comme la première des nuées, celle qu’engendre directement le libéralisme. S’il est possible de défendre la vraie liberté en prenant le contre-pied de l’attitude libérale, ici, rien ne peut être tenté. L’égalité n’est pas récupérable. Elle n’est qu’une redoutable contradiction de la réalité.
Elle est tout d’abord une notion mathématique qui ne peut s’appliquer qu’à la quantité. L’employer en parlant des personnes est donc déjà au niveau des mots, une absurdité. Deux personnes sont en effet différentes. Elles peuvent à la rigueur peser aussi lourd l’une que l’autre, et l’on pourra dire que leurs poids sont égaux. Mais dire que « les hommes sont égaux entre eux » est aussi dépourvu de sens que de dire : « deux champs sont égaux », ou « deux villes sont égales. »
Quant au sens que l’on cherche à faire passer sous ce mot d’égalité, il n’est que le refus de la réalité. Et la réalité, c’est qu’une quelconque des qualités d’un individu n’est que très accidentellement l’égale de celle d’un autre ; c’est qu’il est impossible que toutes les qualités d’un individu soient égales à celles d’un autre ; c’est que de deux individus, l’un est toujours supérieur à l’autre, au moins dans un domaine particulier, sinon dans l’ensemble de ses dons.
La réalité c’est qu’il y a inégalité et diversité.
* L’un est plus adroit, l’autre pèse plus lourd ;
* l’un est plus travailleur, l’autre plus vertueux ;
* l’un est plus intelligent, l’autre plus doué de mémoire, etc.
Et ce sont justement ces inégalités qui rendent possible la vie sociale. Car dans toute société, il faut
* des mathématiciens pour calculer,
* des chefs pour gouverner,
* des hommes habiles pour travailler de leurs mains,
* des hommes sages pour gérer,
* des inventeurs pour inventer,
* des entrepreneurs pour entreprendre,
* des guerriers pour défendre la cité…
Rechercher l’égalité, c’est tuer la vie sociale. Un groupe d’égaux délibérants, tel que nous l’avons vu, n’est pas une société, c’est une dissociété. C’est pourquoi l’argument de la fraternité, de l’union nécessaire, est indispensable pour lui maintenir un semblant de cohésion, et le livrer aux mains des manipulateurs.
La mystification oppressive de la souveraineté du peuple conduira les égaux, par le chemin de la réduction, à la tyrannie des noyaux dirigeants. Devant eux ils ne seront plus un peuple, mais un troupeau de moutons, munis chacun d’un bulletin de vote.
Tant pis pour eux si leur jalousie les a rendus assez vils, pour ne pas accepter la réalité de leurs infériorités comme celles de leurs supériorités ; tant pis pour eux si leur orgueil les a rendus assez sots pour croire à l’ignoble mensonge social de l’égalité, ou confondre celle-ci avec la justice. Même au ciel, enseigne l’Église, il y a des hiérarchies.
À rebours de cette attitude, la soumission au réel doit reconnaître les inégalités, parce qu’elles sont un fait, et parce qu’elles sont un bienfait. Le groupe réaliste devra donc s’appuyer sur elles comme sur le fondement de toute vie sociale.
* Il comportera une hiérarchie,
* la reconnaissance des compétences de chacun,
* la définition des rôles, des missions, des responsabilités.
Sous une direction clairement définie, chacun pourra alors apporter aux autres ce qu’il sait, donc accroître leur connaissance du réel. En bref
* on apprendra quelque chose au lieu de désapprendre ;
* on s’enrichira d’un peu plus de vérité, au lieu de s’appauvrir et de se réduire ;
* enfin on pourra construire au lieu de détruire.
« La soumission est la base du perfectionnement », disait Auguste Comte.
La vraie Fraternité
Il faut distinguer entre l’Union “artificielle” fondée sur des théories et des principes, et l’Union “réelle” fondée sur des faits.
Augustin Cochin, La Révolution et la Libre Pensée.
Quant à la cohésion du groupe réaliste, il importe de bien voir que c’est autour de sa finalité qu’elle peut prendre une réelle consistance.
Le groupe n’est pas une nécessité en soi. Pour que son existence soit utile, il faut qu’il réunisse des personnes qui ont un bien commun à défendre ou à promouvoir. Un bien commun, c’est-à-dire un bien personnel commun à ceux qui se réunissent, un intérêt réel qui est propre à chacun d’eux. Alors, la finalité du groupe sera la réunion des efforts de plusieurs personnes pour défendre ou promouvoir le bien qui leur est commun.
Tandis que dans les groupes réducteurs, on ne rencontre généralement que des motifs de réunion vagues et lointains :
* la Paix au Vietnam ;
* l’apostolat de l’église ;
* le bonheur de l’humanité.
Motifs de réunion qui ne sont que des finalités apparentes, impropres à créer le lien d’une vraie fraternité, mais propres à ouvrir la voie des nuées. Ces finalités apparentes cachent bien souvent la vraie finalité des groupes réducteurs, qui se trouve exprimée dans leur forme sociologique même, par la pratique de laquelle on veut réaliser la démocratie égalitaire.
Pour le groupe réaliste, au contraire, son existence n’est pas plus une fin en soi que sa forme. Celle-ci est organisée, dans ses principes essentiels, selon l’ordre des choses.
* La soumission au réel en est la base.
* Sa structure est hiérarchique.
* Sa finalité est constituée autour d’un bien commun, base de la vraie fraternité entre ses membres.
Est-ce à dire que tous sont d’accord, qu’aucune divergence n’existe, qu’aucun problème ne se posera ? Certes non. Ce serait rêver que de le croire, même s’il peut être souhaitable de rechercher cette unité. Mais tous admettent au moins que la vérité n’est pas la moyenne de deux avis divergents, et que si deux personnes se contredisent, l’une au moins se trompe.
Dès lors, il ne sera pas demandé à l’un ou à l’autre de renoncer à tout ou partie de son avis pour adhérer à « l’opinion du groupe ». Mais on écoutera celui qui est le plus compétent, et le chef décidera sous sa responsabilité.
Dès lors l’action, non exempte d’erreur bien sûr, sera possible. Et cette action amènera l’épreuve du réel.
* Si la décision a été sage, elle portera ses fruits.
* Si l’on s’est trompé, on devra se soumettre à la réalité, réviser ses positions, acquérir un peu plus de vérité, donc de liberté.
Ainsi le perfectionnement sera le fruit de l’effort de soumission à l’ordre des choses, autant qu’à l’autorité de ceux qui sont supérieurs par les compétences ou par la charge.
La cohésion du groupe sera assurée par sa hiérarchie et par les différenciations des rôles de chacun, plutôt que par la volonté de créer une union illusoire autour d’un plus petit commun diviseur.
Adrien Loubier
Notes
[1] St. Thomas De principiis Naturae, Des principes de la réalité naturelle.
Source: Vive Le Roy !
No estando un servidor muy inspirado (o quizás demasiado enamorado, para pensar en otras cosas que no sean Dulcinea del Toboso) voy a tomarme la libertad de coger del Blog de la "Comedia Humana (http://dieuleroi.blogspot.com/2010/11/mi-patria.html) este escrito. Disfrútenlo vuestras mercedes.
Mi Patria
Cuando digo que España es mi Patria, nuestra Patria, los adjetivos “mi” y “nuestra” son posesivos. España me/nos pertenece. España, las Españas, no pertenecen al Estado Español. Pertenecen a los españoles, a todos los españoles, los de los dos hemisferios. España nos pertenece por herencia. Es el legado de nuestros padres, nuestro legado familiar. Porque España pertenece a la sociedad española, y la sociedad no es otra cosa que un conjunto de familias.
El Estado sólo (con acento, ya que es un adverbio) ha recibido el mandato de gestionar España. El Estado no es más que un servidor de la sociedad, como Su Santidad el Papa es el siervo de los siervos de Dios.
Por eso no tiene derecho a transformar España, a destruirla, a convertirla en lo que no es.
Por eso el estado no tiene derecho a atacar a las familias, ya que son las familias, el conjunto de familias, la sociedad, los que le han creado para su servicio.
Y si el estado se transforma en enemigo de la sociedad, debe ser sencillamente disuelto y creado en otra configuración que evite su conversión en el horrible Leviatán que hoy nos amenaza.
Y por eso un servidor de la sociedad, un trabajador del estado, no tiene derecho a nombrar él mismo otros trabajadores del estado, sin mandato expreso y sin someterse a las normas de justicia e igualdad establecidas por la sociedad en las leyes.
Para decidir quién debe trabajar en el estado al servicio de la sociedad, se han establecido las oposiciones, los exámenes ante los que los opositores, en condiciones de igualdad, demuestran el dominio de las materias necesarias para ejercer la función pública con la máxima eficacia. Los concursos, concurso-oposición, la libre designación y otras triquiñuelas, constituyen un engaño descarado y un fraude a la sociedad.
Y es sorprendente la facilidad con que el pueblo español, otrora orgulloso y desconfiado, acepta gustoso el engaño. Y lo que es más increíble, el robo.
No llenamos con nuestros impuestos, pongo yo por caso, las arcas del ayuntamiento, para que organice verbenas o decida qué actividades deben ser consideradas culturales y cuáles no. No hemos nombrado al alcalde para que derribe nuestros monumentos y encargue a sus compinches de logia la erección de horribles monolitos masónicos. (Los siento, llevo unos meses viviendo en Madrid, antigua villa y corte, y es desesperante).
El ayuntamiento está para organizar el tráfico con lógica, mantener limpias las calles, reparar las aceras cuando es necesario, velar por el respeto de la ley y el orden incluso en los más recónditos callejones en la obscuridad de la noche, y otros muchos servicios por los que pagamos y de los que carecemos.
Del mismo modo, cuando digo que el castellano, el español, es mi lengua, es nuestra lengua, también lo digo en sentido estricta y absolutamente posesivo. Y nadie, y menos que nadie la Real Academia de la Lengua, institución que tiene por misión la salvaguarda de la lengua cervantina, tiene derecho a destrozarla. ¡Qué mayor traición cabe imaginar que la destrucción de uno de nuestros bienes más preciados a manos del encargado de protegerlo!
Por eso, igual que sigo escribiendo en alemán con la "Eszett" (β) cuando es necesario distinguirla de la doble s, y en francés digo "j'aime bien" y jamás "j'adore" "parce que je n'adore que Dieu", seguiré acentuando “solo”, sólo cuando sea adverbio, mi abecedario sonará “a, be, ce, che, de…”, seguiré llamando i griega a la y, e i latina a la que se escribe con un punto encima, y seguiré conservando como un tesoro mi Miranda Podadera, mis diccionarios y mi ortografía.
Y de este modo esperaré el día en que ningún truhán, aunque esconda su verdadero acento, tenga derecho a ser nombrado académico de la Real Academia de la Lengua. Esperaré el día en que la designación “Real” vuelva a querer decir algo. El día en que a la cabeza de las Españas vuelva a haber un Rey por la gracia de Dios, del único Dios verdadero, el Dios de nuestros padres, el Dios de las familias católicas españolas.
Un Rey de las Españas, obediente al Dios por cuya gracia gobierne, obediente a la Santa Madre Iglesia y sometido al control de la sociedad española a la que sirva, a través de unas Cortes tradicionales, verdaderamente representativas de los súbditos de Su Majestad Católica.
Aquí yace uno, tirado en el sofá de casa porque es el único lugar en el robo internet al bueno de mi vecino y tio. Mientras pienso en como acabar con dicho hurto, veasé convencer a mi madre de que necesito internet en casa, pienso en el día de mañana y en los que están por venir.
Estudiaré lo que me toca esta noche e imagino que lo mismo haré con el teórico de conducir (que me está trayendo por el camino de la amargura). No se crean vuestras mercedes que mañana será un día alucinante o para recordar, como lo fueron los anocheceres al lado de la única mujer a la que he amado.
Me levantaré entorno a las diez de la mañana tras haber dormido las siete horas máximas que me permito entre semana. Tras realizas las tareas de la casa que me han sido encomendadas, pondré orden en mi apuntes y los guardaré. Hacia las dos cogeré una serie de transportes públicos que me llevarán al nido de vívoras donde estudio (aun no sé para que, ya que prefiero leer los clásicos a la "prostitución").
Cuando llege a clase, empezará el esperpento humano en que se ha convertido Ex-paña. Mi facultdad, la de Derecho, parace una sociedad en miniatura. No es muy difícil ver de qué ambientes proviene cada uno. Hasta allí uno puede decir que de qué me estoy quejando. Pues bueno el meollo del asunto es cómo han podido llegar ciertos individuos a la universidad, supuesto templo del conocimiento. lo curioso será que esos individoues lleragarán a terminar la carrera.
Si mi facultad es un fiel reflejo de la sociedad española, y lo es, ¿de verdad me merece la pena seguir estudiando en vez de buscarme una cueva en las montañas y vivir a lo ermitaño el resto de mi vida? Como no tengo aún la respuesta, me voy a misa a ver si saco algo más que la caveza caliente y los pies fríos.